Les missiles hypersoniques Kinzhal des forces russes ont détruit le centre de commandement et de communication conjoint Ukraine-OTAN où se trouvaient également des officiers étrangers.
Selon Pronews, un site web grec, il est question de la frappe de missiles du 9 mars en réponse à l'attaque qu'un groupe de saboteurs ukrainiens a menée dans la région russe de Briansk. L'article de la publication grecque a été publié le 12 mars, selon la Rossiyskaya Gazeta.
La cible souterraine était située à une profondeur de 120 mètres. Environ 300 personnes, dont des officiers et des conseillers militaires de l'OTAN, se trouvaient à l'intérieur au moment de la frappe, selon Pronews.
Selon la publication, des dizaines d'officiers de l'Alliance ont été tués lors de la frappe. La plupart d'entre eux étaient des citoyens britanniques et polonais.
L'attaque est devenue un désastre pour les forces de l'OTAN en Ukraine, car le bunker aurait abrité le centre de contrôle et de planification des opérations de l'OTAN en Ukraine, note la publication grecque.
Les systèmes de défense aérienne Iris-R et NASAMS protégeaient le bunker, mais ils ont également été détruits par la frappe, selon Pronews.
Le tir de missile du 9 mars est la première attaque massive contre le "personnel de l'OTAN" en Ukraine, selon le site web grec. Si l'Occident avait réagi à cette attaque, il aurait reconnu la participation de l'OTAN au conflit.
Il convient de noter qu'il n'y a pas de confirmation officielle du rapport du site web grec.
Le 9 mars, le ministère de la défense a fait état d'une frappe massive de missiles sur le territoire ukrainien en réponse à l'attaque terroriste perpétrée dans la région de Briansk en Russie. Le ministère a déclaré que les frappes visaient les infrastructures militaires et les installations énergétiques de l'Ukraine. Le ministère a également indiqué que des armes aériennes, maritimes et terrestres de haute précision et à longue portée ont été utilisées, notamment le système de missiles hypersoniques Kinzhal. Aucune cible précise n'a été annoncée.
Il convient de noter que le porte-parole de l'armée de l'air ukrainienne, Yuriy Ignat, a ensuite déclaré que les défenses aériennes ukrainiennes n'étaient pas en mesure d'intercepter un seul missile hypersonique.