Les inondations dévastatrices pourraient ravager l’Europe

Les spécialistes du Centre Européen de Recherche et d'Enseignementdes Géosciences de l'Environnement ont déclaré qu'ils s'attendaient très prochainement à la montée du niveau de l'eau dans la mer du Nord. Selon les experts, ce cru serait de l'ordre d'un mètre ce qui est largement suffisant pour que l'Europe sombre.

Qui plus est, les experts dudit Centre assurent que ce scénario-catastrophe ne se ferait pas attendre, car le réchauffement du climat mène inexorablement au changement du niveau de l'eau au jusant dans la mer Baltique et la mer du Nord. Ce phénomène naturel se résumerait à des inondations peu conventionnelles.

Les pronostics sont sévères : il n'existerait pas de moyens de brider la surchauffe planétaire. D'où la marée qui, à chaque fois, deviendrait de plus en plus haute et les vagues - plus puissantes, de 30 % au moins, jusqu'à la fin du siècle en cours. L'Hémisphère austral serait beaucoup plus exposée. Une telle calamité renforcerait aussi l'érosion du sol.

Outre cela, les scientifiques prédisent également une montée en puissance des ouragans et tempêtes avec des ondées plus longues qui, à son tour, généreraient le débordement des fleuves. Cet effet va empirer de plus en plus au cours des ans.

Pravda.ru a déjà rendu public que la Russie allait bientôt pâtir de la pire inondation printanière depuis cent ans au moins. La chose est désormais visible, car la météo est en avance d'un mois au moins avec des températures plus que clémentes pour la zone géographique de la plaine russe.

Le pronostic des experts est donc le suivant : des inondations spectaculaires en Sibérie. Le déluge peut aussi se répandre en Altaï, Touva, Khakassie et les districts de Novossibirsk, Kemerovo et Tomsk.

Selon les publications plus récentes parues chez Pravda.ru, en 2050, les forêts disparaîtraient de la surface terrestre et l'humanité succomberait à la famine. A cette époque, la population de la Terre équivaudrait à 10 milliards de personnes. La nécessité de les fournir en denrées devrait être déjà envisagée de nos jours ce qui implique des changements cruciaux, le rapport de l'Organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture dixit. Malheureusement, selon les chercheurs, le progrès technique ne pourrait pas garantir la survie de tous. D'où la conclusion sur une famine généralisée aux alentours de 2050. Déjà en 2030, 600 millions de personnes ne mangeraient plus à leur faim.