FRANCE

Pour lutter contre l'immigration il faudra peut-être tirer

Ivan Blot ne mâche pas ses mots: pour pouvoir juguler la crise, il faudra peut-être faire usage du monopole de la violence que détient l'Etat. Tout républicain qu'il fut, Clemenceau, lui, n'avait pas peur du sang pour lutter contre le danger de l'insurrection.

Pourquoi les politiciens modernes ne pensent-ils pas aux jeunes générations des Français de souche qui sont voués au chômagte et à la perte de mémoire historique dans leur propre pays? Comment peut-on être jeune en France de nos jours, s'offrir un appartement, faire carrière lorsque tous les débouchés sont saturés et les fonds donnés à l'intégration au détriment de la défense et de la protection des plus démunis?

Les élites au pouvoir s'en moquent bien. "Vogue la galère" est un peu leur façon de penser et de vivre. Alors la coupure entre la strate au pouvoir et le peuple français se fait de plus en plus sentir. Le climat social se dégrade. Ce co-fondateur du Club de l'Horloge n'a pas peur de prendre ses responsabilités pour invectiver le style hitlérien de ceux qui demandent aux Français de lauisser leur espace vital aux nouveaux arrivés, plus nombreux et plus agressifs que les descendants des Gaulois qui doivent dégager. 

Les émeutes à Bobigny ou à Mantes-la-Jolie sont passées sous silence par toute la presse nationale et, grosso modo, les médias occidentaux. Pourtant le feu peut partir à tout moment et il sera trop tard pour discutailler dans les beaux salons de l'Elysée.

Lorsqu'il fallait en venir aux armes le grand républicain que fut Clemenceau ne douta pas une seconde, car l'Etat fut en danger. Alors pourquoi pas nous? Demain la France ne sera plus! Comme la Syrie! Malheureusement, OTAN oblige, les intercepteurs russes Soukhoi ne viendront pas à la rescousse pour châtier les coupables. Ce jour-là la nation française enviera Bachar Assad qui sabre le champagne avec Vladimir poutine fêtant sa victoire sur les terroristes dits "pacifiques" (US dixit). En attendant les Américains écoulent leurs stocks d'armements en Europe se souciant comme d'une guigne des vraies questions tarabustant les esprits dans leur colonie française. 

 

Автор Alexandre Artamonov