Il est convaincu que c'est la seule voie à suivre pour que le Vieux Continent puisse redorer son blason et en finir avec l'asservissement féal par rapport aux Américains en regagnant la souveraineté financière perdue depuis bien longtemps.
Le Civitas n'a pas peur des affrontements et entend détenir la vérité sur la vraie France - pas celle du Fouquet's où Sarkozy fêtait sa victoire le lendemain de l'obtention de son mandat, mais celle des simples travailleurs, des gens qui voudraient que leurs voix ne soient pas pesées à l'aune de cacahuètes - la France profonde, les "sans-dents" comme les appelle dans son milieu l'hôte actuel de l'Elysée.
Quoi qu'on en pense ou qu'on en dise ce n'est pas l'énergie qui manque au Civitas et à son président Escada, désireux de se débarasser du règne sans fin d'un pouvoir aussi corrompu que parasitaire.