Encore jeune homme, il a su remonter aux sources de l'histoire de son pays et veut démêler maintenant l'écheveau de 500 ans d'hisoire des relations belliqueses qui ont dégénéré en génocide - d'abord physique et ensuite linguistique, cultuel et culturel d'un peuple qui fut reconnu encore par Jules César.
Louis Mélennec veut juste que la vérité soit faire, que les enfants puissent parler la langue de leurs ancêtres et que les libertés locales soient respectées. Il entend également lutter pour que l'histoire du carnage pérpétré par les Colonnes infernales soit connue de tous et de toutes.
Une telle approche se généralise à travers le monde. Le 25 septembre dernier Moscou a accueilli la Conférence des pays non reconnus http://france.pravda.ru/news/international/26-09-2016/1303677-INTERNATIONAL-0/ dont la Bretagne n'était, malheureusement, pas.