Ancien membre (le plus jeune d'ailleurs) du Comité Central du FN, Alexandre Gabriac ne se reconnaît plus à travers ce parti qui, malheureusement, a perdu le feu sacré d'antan, propre à l'époque de Jean-Marie ou d'un Roger Holeindre. Alexandre a une vision du monde bien nette au moment où l'Europe dessoûle en comprenant que personne, à part elle, ne saura résoudre ses problèmes respectifs, que la cavalerie américaine ne viendra pas à la rescousse et qu'il faudra trouver une solution et combattre pour la survie. Les vieux politiciens de la vieille peuvent encore se la couler douce à Saint-Tropez et espérer de maintenir un équilibre précaire pour le reste de leur vie. "Après moi, le déluge!" comme disait le Roi-Soleil. Mais la génération de Gabriac est obligé d'affronter l'avenir et de faire face à une problématique qui s'avère de plus en plus militaire.Composez http://www.pravdafrance.com pour avoir accès à toutes nos actualités et informations sur la Russie et le monde